Les jeunes de CAPa SAPVER 1ère année ont pu faire leur bilan, ce vendredi 27 Janvier, en extérieur. Il faisait très frais, mais des squats étaient faits pour se réchauffer !
Un bilan à la MFR, à quoi ça sert ?
Si toutes les semaines, à la maison familiale, débutent par un accueil-café et un accueil en classe les lundis matin, elles se finissent également par un bilan le vendredi.
L’accueil des jeunes en classe le lundi matin permet de faire le point sur le vécu dans leur entreprise et leur environnement social. Savoir et comprendre comment ils vont pour pouvoir adapter le temps d’écoute, d’information réciproque. Le carnet de liaison est ensuite lu et la semaine peut débuter par la mise en commun.
Le bilan, lui, se fait tous les vendredis. Il permet d’échanger, en classe, du déroulé de la semaine. Comment cela s’est passé pour les jeunes, ce qu’ils ont aimé ou non en classe, à l’internat, lors des repas ou des veillées… Cela peut aussi permettre de fixer des objectifs afin de maximiser les apprentissages et l’évolution des jeunes.
Tous les mêmes ?
Les bilans peuvent être très différents d’une semaine à l’autre. A l’écrit, à l’oral, avec des jeux, en libérant la créativité des jeunes, en groupe, en classe entière ou individuellement… L’idée est de varier ces moments afin de valoriser au mieux la pensée du jeune sur le déroulé de sa semaine.
Le retour des jeunes permet de cibler l’accompagnement que la MFR leur fournit. Mais aussi de leur faire plaisir lorsqu’ils demandent des cordons bleus à midi par exemple !
Les CAPa SAPVER 1ère année devaient donc se mettre en rond. Elles devaient se passer un ballon après avoir répondu aux questions posées. Quelque chose de positif / négatif qui s’est déroulé dans la semaine, quelque chose qu’elles souhaitent améliorer la fois prochaine… Et comme il faisait froid, elles devaient répondre, faire un squat et lancer le ballon à une collègue de classe. Chacun son tour ! C’est aussi un très bon exercice de cohésion.
Les bilans de la semaine font la richesse des MFR : accompagner au mieux les jeunes et faire en sorte qu’ils se sentent bien au sein de leur formation.
Article rédigé par Julie VINCENT