Les piques niques récupérés, nous empruntons la route avec René notre chauffeur. Emilie au micro annonce la visite de Bayonne avec la rencontre d’une association « ATD quart monde ». Et après ce sera Biarritz pour une visite de la ville.

Mouvement ATD Quart Monde

Nous sommes accueillis vers 10 h par Francis responsable de l’association humanitaire qui nous explique l’association, ses engagements et ses combats pour aider les autres.Le Mouvement ATD Quart Monde a fait évoluer la lutte contre la pauvreté pour la faire passer d’objet de charité à lutte pour les droits de l’homme. Né dans un bidonville de Noisy-le-Grand dans les années 50, il est à l’origine d’un grand nombre d’avancées législatives comme le Revenu Minimum d’Insertion (RMI, ancêtre du RSA), la Couverture Maladie Universelle (CMU) ou le Droit au logement opposable (DALO). ATD Quart Monde est aujourd’hui présent dans 29 pays sur 4 continents.

Ses membres actifs bénévoles s’engagent ensemble pour détruire la misère.

Biarritz, une ville au bord de l’Océan

Nous arrivons vers Biarritz vers 12 h pour le déjeuner, l’objectif atteindre le rocher de la vierge car Du haut du rocher de la Vierge, la vue est imprenable sur la baie de la ville! Notre guide aujourd’hui c’est Emilie.

La commune de Biarritz ville des Pyrénées-Atlantiques possède 30 000 habitants. Biarritz base en grande partie son économie sur le tourisme, le sport et le secteur du bien-être. « Lancée » au XIXème siècle par l’impératrice Eugénie, la ville se distingue par son architecture originale et son casino. Station balnéaire de grande renommée, elle est également considérée comme l’un des meilleurs spots de surf d’Europe et accueille des compétitions internationales. Le patrimoine de la ville est important. Le rocher de la Vierge ou l’hôtel du Palais sont quelques-uns des monuments les plus

Prendre de la hauteur à San Sebastián!

Enfin une visite avec des explications de la ville par Mr Laurent et un  quartier libre pour l’achat de quelques souvenirs.

Tout d’abord, un peu de culture générale histoire de vous faire un peu rêver! 🙂

San Sebastian, Donostia en basque et San Sebastián en Espagnol est une ville de 400 000 personnes située au nord de l’Espagne. Importante station balnéaire au bord de la mer Cantabrique, elle est surnommée « la perle du Cantabrique » en raison de sa beauté, en particulier celle de sa baie, la fameuse Concha (une des plages urbaines les plus célèbres d’Espagne). En effet, C’est la reine Isabelle II qui, souffrant de problèmes de peau, se rendit la première à San Sebastián en 1845. Sur les conseils de ses médecins, elle s’installe l’été dans l’ancienne place forte militaire devenue village de pêcheurs pour prendre des bains de mer et respirer le bon air. La mode des vacances au bord de mer était lancée dans l’aristocratie espagnole.

Pour découvrir cette magnifique station, nous allons commencer notre périple par la Concha, où se trouve le port et la plupart des bars Pintxos (sorte de tapas) qui attirent tant de monde. Afin de se repérer, la ville est partagée en deux par un imposant pont que vous ne pouvez pas manquer: d’un côté la « vieille ville » et d’un autre la « ville récente », avec deux esprits et deux ambiances à découvrir!

Pour mieux comprendre la géographie de San Sebastián

Nous n’hésitons pas à entreprendre l’ascension des collines qui l’entourent. À l’ouest, le mont Igueldo offre une vue panoramique bluffante. Pour y accéder, nous empruntons le funiculaire un peu touristique mais charmant, datant de 1912. Puis autre possibilité, atteindre le mont Urgull, qui ferme la baie à son extrême opposé. Ancienne forteresse militaire, il abrite encore les vestiges d’un château du XIIe siècle. Au sommet se dresse le mirador du Sacré-Cœur érigé en 1950 et qui se tourne vers la ville. Aux pieds de ce Christ de 12 mètres de haut rappelant celui du Corcovado de Rio, on aperçoit les trois plages de San Sebastián.

Une baie de toute beauté

Car San Sebastián ne déploie pas une mais trois plages, La Concha, en forme de coquille (concha signifie coquillage en espagnol, longue d’1,5 km, est entre les collines des monts Urgull à l’est et Idelgo à l’ouest. Elle est bordée par une promenade de style XIXe, décorée d’une balustrade en fer forgé et de lampadaires élégants. la plage Ondarreta, séparée de La Concha par les jardins du palais de Miramar. Les surfeurs et les jeunes préfèrent la troisième plage de San Sebastián, la plus à l’est : Zurriola. À n’importe quelle époque de l’année, et à toute heure, ils profitent de ses vagues constantes et intenses.

Un cœur historique vibrant

Au pied du mont Urgull se trouve la vieille ville que l’on découvre à pied. Ancien quartier des pêcheurs protégé du vent par cette colline, elle abrite de jolis immeubles. Avec ses rues sinueuses et étroites, ses petites places, elle est le cœur battant de San Sebastián. Nous passons devant la basilique Santa Maria, l’église San Vicente, la plus ancienne de la ville, et la place de la Constitution où se déroulent de nombreux évènements sportifs. Les façades colorées, les numéros peints au-dessus de chaque balcon rappellent que la place servait d’arènes taurines. Si d’agréables terrasses nous tendent ici les bras, c’est dans la rue Fermin Calbeton que nous nous rendons pour savourer de savoureuses bouchées locales.

LES PINTXOS, PLUS QUE DES TAPAS

À deux pas de la place de la Constitution, les nombreux bars de cette rue sont pris d’assaut par les habitants le soir et jour de fête. Dans une ambiance chaleureuse et bruyante, ils viennent déguster un verre de txakoli, le vin blanc local légèrement pétillant et amer, tout en grignotant des pintxos, ces bouchées tenues par un pic en bois, emblématique de San Sebastián. A l’origine, il s’agissait d’une tartine de pain sur laquelle une ration de nourriture était fixée avec un cure-dent. Aujourd’hui, il en existe de toutes sortes, du simple anchois-poivron au plus gastronomique. Nous allons essayer ça dans un bar en consommant une boisson et un ou deux pintxos.

Puis nous retournons pour le dîner, préparer les valises pour demain et oui ça passe vite !

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